Here it is, a new review for The River on Big Bang Magazine.
Bien que ce The River – Both sides of the story soit son premier opus, Marco De Angelis n’est pas un musicien nèpphyte, bien au contraire mème puisqu’ il est un ingènieur du son rèputè de l’aure cotèdes Alpes. Mais aprés de nombreuses années passées derrière ses consoles, il a eu envie de s’incarner pour passer de l’autre coté du miroir et done de mettre à profit ses qualités de multi-instrumentiste.
particuliéremente actif et enclin à faire entendre sa musique aux quatre coins du monde progressif, De Angelis a concocté un album à la production étincelante et dont la teneur générale renvoie bizarrement davantage à l’Angleterre qu’à l’Italie.
The River est en effet une oeuvre soignée qui s’inscrit prioritairement dans la démarche floydienne de Roger Waters, mais qui s’avére simultanément soucieuse de se parer d’ambiances et de mélodies facilment identifiables. C’est cette volonté, que certains pourront trouver réductrice, qui favorice au contraire l’affection que l’on porte a cette musique sans artifice ni prétenction.
Ce concept-album, porté par le chant élégant de Marcello Catalano et ses vwlléités pop-prog est une oeuvre aux atours clair-obscur, comme si RPWL, Tears For Fear, Peter Gabriel (pour les touches world-music) et done Pink Floyd (au final, tout autant celui de The Wall que de The Division Bell, notamment puor la guitare ‘gilmourienne’)unissaient leur personnalité en un syncrétisme des plus festifs.
Les 11 morceaux de The River, souvent reliés entre eux, révélent ainsi des arrangements soignés et une volonté de faire glisser leurs développements sans se soucier du dogme progressif.
Vu le talent flagrant de Marco De Angelis, on ne manquera pas au final de regretter ces références par trop identifiables, mais le corollaire de ce regret est bien sur la certitude de voir germer dans la futur un album débarassé de ces scories.
Olivier Pelletant
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